Sur Facebook ou ailleurs, vous avez certainement dû voir passer quelques unes de ces œuvres opposant deux univers parallèles. L’opulence de l’Occident se confronte à la pauvreté du Tiers monde. Les privilèges des uns se heurtent à la souffrance des autres. Ugurgallen n’a pas fini de mettre les inégalités à la lumière du jour. Coup de projecteur.
Ugur Gallenkus, de son vrai nom, est un créatif au carrefour entre l’Asie et l’Orient. Son travail trouve son origine dans un événement datant de 2015. Après l’inondation de la toile par la triste photo d’Aylan Kurdi, un syrien de trois ans échoué sur une plage de Méditerranée, Ugur a profondément été marqué. L’artiste a également été témoin des tentatives des migrants échappant leurs pays et les conflits pour tenter de rejoindre l’Europe. Dès lors, Ugurgallen n’a eu de cesse de mettre en exergue la polarisation de notre monde et les inégalités qui en découlent. Tout y passe, l’accès à l’éducation, l’accès aux soins, le travail forcé des enfants, les conflits armés, les menaces écologiques… L’artiste nous a fait le plaisir de compiler une grande partie de ses oeuvres dans un livre intitulé « Parallèle universes of Children ». Il est en vente ICI.











